Sunday, March 27, 2016

Femmes de réconfort : Une approche historique conflictuelle.

C’est dans un ambiance plutôt tendue que la fort délégation japonaise composée de représentants d’associations de femmes, d’intellectuels et d’amis du japon que s’est ouverte la session portant sur la problématique des « Femmes de réconfort ou Comfort Women». Un problème exploitation des femmes coréennes a des fins sexuelles durant la deuxième guerre mondiale par l’armée japonaise qui oppose aujourd'hui la Corée du sud au Japon.

Tour a tour, les orateurs, ont exprimé leur vive condamnation devant ce qu’ils désignent comme étant « une campagne internationale de diffamation » qui porterait atteinte a la femme, l’armée et a la nation japonaise toute entière. Parmi les exemples cités, on peut noter la résolution passée par le parlement canadien en 2007 contre l’armée japonaise en relation avec l’esclave sexuelle. L’introduction en 2013, dans certains manuels scolaire au Canada des actes de violence commis par l’armée japonaise. Enfin, la construction par des militants activistes à Séoul, au Canada et aux Etats-Unis de monuments a l’honneur des femmes coréennes victimes de la guerre contre le japon.

Si le japon a depuis exprimé ses regrets par l’intermédiaire de son Premier Ministre Mr Shinzo Abe pour les faits occasionnés a la Corée durant la guerre et payée la somme de 8.3 million de dollars de réparations. Et que les deux parties ont convenu de ne pas critiquer les uns les autres sur cette question dans la communauté internationale. Qu’est-ce qui peut bien justifier cette attaque contre le japon? 

Comme certains intervenants l’on si bien rappelé, le japon n’est pas le seul pays qui en temps de guerre comme en temps de paix s’est vue commettre des actes répréhensibles sur les femmes et les enfants. Récemment, des témoignages de violes contre des mineures (filles et garçons) en Centre Afrique ont été portés à l’attention du publique. Ses actes ont été commis par certains casques bleus des Nations-Unies, ceux-là même qui ont pour mission d’assurer la paix. Pourquoi ne sont-ils pas persécutés soit par les Nations-Unies soit par leur pays respectifs ou simplement par le pays dans lequel ses actions ont eu lieu ? Mais comme De Louis Dumur disait, je cite : « Une injustice dont nous profitons s'appelle la chance ; une injustice dont un autre profite s'appelle un scandale. » 

        Pour en savoir plus sur l’origine de la controverse vous pouvez visiter les liens ci-dessous:


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